attestation d'appartenance d'un grand résistant au réseau charette constitué par le neveu du général de gaulle
Mr TOURRETTE Guy légion d'honneur croix de guerre avec palmes , arrêté et torturé par la gestapo , déporté en allemagne survit miraculeusement
En annexe copie d'une coupure de journal de st FELIX retracant son parcours de résistant
LE RESEAU CHARETTE
Entrée dans la Résistance
La mère de Michel Cailliau est Marie-Agnès de Gaulle (1889-1982), sœur aînée de Charles de Gaulle. Son père est l'ingénieur belge Alfred Cailliau (1877-1956). Dès les premières heures de l'armistice du Maréchal Pétain, alors même qu'il est prisonnier en Allemagne, Michel participe à la construction de la Résistance. Peu après son évasion, son réseau, tissé pendant les mois de captivité, grâce au concours de personnalités d'une valeur exceptionnelle, prend une part sans cesse plus importante dans la libération de la France.
Toute sa famille se donne, sans limites, au combat. Son second frère, Charles Cailliau (né le 9 septembre 1916), a été tué sur le front près de Charleroi le 10 mai 19402. Son troisième frère, Pierre Cailliau partira pour résister à Alger, puis participera au débarquement de Provence et à la Libération de la France2. De deux ans son cadet, Henri Cailliau (né le 13 mai 1915), parachutiste dans les FFL, sera officier de liaison des Américains lors de la campagne de France et d'Allemagne2
Le réseau Charette
Michel Cailliau retrace l'historique de son réseau dans Histoire du Mouvement de résistance des prisonniers de guerre et des déportés (MRPGD) de 1941 à 1945 : durant la première phase de son existence, le MRPGD consacre l'essentiel de son activité au renseignement. La résistance armée n’est pas à l’ordre du jour. Elle serait dangereuse pour la population civile et peu efficace dans la guerre globale qui est menée au plan mondial.
Le MRPGD va donner naissance à l’un des plus grands réseaux du renseignement français. Son activité ne concerne pas seulement la France. Il a de solides antennes dans l’Allemagne nazie via notamment le mouvement antinazi Freies Deutschland, auquel appartient Pierre Vanhaeren.
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